
Tandis que Benoit Sapiro présente actuellement “Du primitivisme dans l’art du 20° siècle” dans sa galerie de la rue des Beaux-Arts, il prépare pour novembre pas moins de trois expositions, une à Paris et deux à New York.
On démarre avec Photo Saint-Germain (7/22 novembre) et “Du minimalisme dans la photographie d’architecture des origines à nos jours”. J’y reviendrai dans un article car exposer le travail de trois photographes de trois siècles différents sur un thème aussi précis mérite qu’on s’y attarde un peu…
A peine le vernissage passé, direction New York pour la 4° édition de The Salon Art+Design (12/ 16 novembre) où il montrera notamment un exceptionnel paravent d’Archipenko et il enchaînera avec une grande exposition consacrée à Boris Aronson qu’il montrera à la galerie Vallois America (14 novembre / 23 décembre) “Preparing the miracle, fom Bronx to Broadway : Boris Aronson and the Yiddish Theatre”
Benoit Sapiro défend avec passion les artistes russes et d’Europe de l’est de la première moitié du 20° siècle et sa galerie compte assurément parmi les plus dynamiques de Paris.
Si je suis fan ? C’est un euphémisme… Le nombre d’articles que j’y consacre trahit mon enthousiasme.
Mais pour revenir au présent, il faut que je précise aussi qu’il y a une dizaine de jours il était au Musée Pushkin à l’inauguration de l’exposition “Les années folles de Montparnasse” pour laquelle il s’est occupé d’organiser et de coordonner l’exposition des œuvres de Pascin provenant des collections privées. Sans oublier le 27 septembre où il participait à l’opération organisée par le Comité Professionnel des Galerie d’Art et la Mairie de Paris : “Un dimanche à la galerie”…

